Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis.
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Caelan Tudor
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ϟ It's just me :
ϟ Age du personnage : 39 ans, mais fait plus jeune naturellement et grâce à l'aide de quelques potions.
ϟ Idéologie politique : Membre de la confrérie, surtout par crainte des vampires et des loups garous. Des êtres qui peuvent vous tuez d'un coup de crocs, comment leur faire confiance ?
ϟ Métier : Reine d'Irlande
ϟ Nationalité : Irlandaise
ϟ Race : Sorcière
ϟ Révèle-toi : D.C. de Ruby P. Baudelaire & Luna R. Parkers. Compte secondaire, veuillez m'envoyez les m.p. plutôt sur le compte de Ruby ;)
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Sujet: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Sam 22 Juin - 10:29
Caelan Tudor
incarné par Diane Kruger
ϟ Age • 39 ans, mais je vous prierai de ne plus poser la question. Il est tout à fait indécent de demander une telle chose à une femme. En particulier une femme telle que moi. Je ne fais pas mon âge. On me dit que je fais plus jeune et j'en tire une grande fierté. ϟ Date de naissance • 13 octobre ϟ Race • Sorcière. Qu'est-ce que je pourrais d'autre ? La reine des sorciers ne peut être qu'une sorcière, que voulez-vous. ϟ Nationalité • Irlandaise, bien que j'ai des origines française dont je suis on ne peut plus fière. J'aurais préférée restée en France, j'ai passé là bas les plus belles années de mon enfance. Cependant voilà, je suis Irlandaise avant tout. ϟ Origines • Sang-mêlée. Ma famille dit avec fierté qu'il n'y a aucun sang moldu dans nos veines depuis plusieurs générations. Pourtant j'ai une cousine moldue qu'on aurait préféré oubliée et dirait-on de mon enfant ? De la seule que je reconnais. Je crois même avoir quelques vampires et loups garous, je ne les apprécie guère, mais si on ne choisit pas les membres de sa famille, on peut choisir de les ignorer. ϟ Caractère •
ϟ Ancienne maison • Ancienne gryffondor ϟ Métier • Reine d'Irlande, pas moins
ϟ Demeure • Mellow Blue Castel ϟ Préférence sexuelle • Hétérosexuelle. ϟ Statut amoureux • Bien que je sois mariée au roi d'Irlande. Je n’éprouve aucun sentiment pour lui. Je ne l'ai jamais aimée. On m'a mariée à lui sans qu'on me laisse le choix. Lui non plus ne m'aime pas, je le sais très bien. J'ai pourtant aimé autrefois. Il est mort maintenant. Par la faute de mon très cher maris. J'en suis persuadée. Toutefois je me suis bien assurée d'avoir ma vengeance et lui faire payer pour la souffrance qu'il m'a fait subir.
ϟ Son avis sur les livres de Rowling • Je dois vous avouez que je n'ai jamais été passionnée par les romans historiques, aussi je ne les ais jamais lu. Je ne sais trop quoi penser. D'un côté il est bon d'informer les moldus de l'histoire de l'un de nos plus héros. D'un autre, cela a provoqué un clivage dans notre peuple. Certains étaient en désaccord, jugeant que cela brisait notre secret. Tendit que d'autres approuvaient totalement l'idée. En ce qui me concerne je suis neutre et sans avis. Des livres sont des livres. Tant qu'ils trouvent un public à leur goût, pourquoi donc les châtier ?
ϟ Capacités • Des capacités ? J'en ais plus qu'on peut le penser. Déjà ne pas faire fit aux ragots qui courent sur mon sujet. Oui, on me dit ayant de nombreux amants. En réalité je n'ai eut qu'un seul amour. Etre fidèle et une bonne capacité, non ? Je suis aussi très maternelle. Je n'aime pas mes enfants, enfin ceux que mon mari m'a donné. Pourtant j'arrive à leur donner tout l'amour qui soit. Une autre capacité asse intéressante. Je sais peindre à l'aquarelle, j'ai des connaissances en botanique, par contre je suis une cuisinière lamentable. J'aime beaucoup monter à cheval et je pense que je suis douée pour cela. Par contre je n'ai pas une très bonne maîtrise des sorts, des potions ou de tout ce qui touche à la magie. Je suis une piètre sorcière.
ϟ Credo • Une reine ne vit pas pour elle-même, mais pour son peuple. ϟ Petites manies • J'élimine les maîtresses de mon mari. Ou du moins je me débrouille pour qu'elle cesse de me déranger. On sait qu'il va dans tout les lits, sauf le miens. Pourtant j'ai cette tendance à vouloir sauver les apparences. Bien que je n'ai jamais aimé mon mari, je l'apprécié, autrefois. Faute d'être amoureuse de lui, je désirais au moins son amitié. Au nom de cette relation passé je garde toujours sur moi un petit bracelet qu'il m'avait offert. Il me l'avait ramené de l'un de ces nombreux voyages. Je déteste les escortes, encore plus qu'on me prenne pour une pauvre poupée fragile. Je sais bien que je suis incapable de me battre, mais j'ai cette tendance à vouloir fuir la garde que l'on m'impose. Depuis que je suis devenue reine j'ai l'impression d'oublier toute liberté qui soit. Je déteste la solitude, alors j'ai pris l'habitude de m'entourer de musicien, de comédiens, d'artistes en tout genre ou encore de dame de compagnie. La solitude est toujours présente, pourtant je cherche encore et toujours à la combler. ϟ Projet d'avenir • Pour avoir des projets d'avenirs, il faudrait déjà que je ne meurs pas. Tout homme est voué à la mort. Moi la première, le poison me détruit lentement de l'intérieur. Les médicomages ne peuvent rien, il peut me reste quelques semaines comme plusieurs années. On ne sait pas combien de temps dont il aura besoin pour me détruire. Je ne veux pas mourir. Personne ne le veut. Personne de sensé. Alors j'essaie d'ignorer cette maladie qui me ronge et de voir vers l'avenir. Dans ma situation je ne peux pas faire grand chose. Régner, être une bonne reine, voilà tout ce qui m'attend.
ϟ Ses passions • On attend de moi des passions bien particulières. Encore cette fois-ci je n'y adhère pas. Je me passion pour la jeunesse (avoir l'air belle et jeune est une vrai passion !). Ainsi que l'équitation, le tir à l'arc, j'apprécie la littérature, mais puis-je dire que cela est une passion ? Je ne sais trop. Ceci est surtout pour éviter la broderie et autre agacement du genre. On peut dire que j'ai la musique, les ménestrels et l'art en passion. C'est surtout pour que je ne me retrouve pas seule. J'ai les romances en passion, mais pas les intrigues politiques. J'apprécie la botanique et les jardins. Enfin il y a chez moi une dévotion pour mon peuple. Probablement parce que c'est le seul devoir que j'arrive à remplir. Celui de servir au mieux mon peuple. ϟ Ses peurs • J'ai beaucoup de peur. Peur de vieillir. Peur de mourir. Des peurs normales je pense. Peur de la solitude. Peur d'être haït. Peur de tout et en même temps peur de rien. Quand on sait qu'on va mourir, on apprend à relativiser les choses. Chaque jour devient une petite victoire sur la mort et chaque instant à la saveur de l'unique. Une reine ne devrait pas avoir peur. Une reine devrait être forte. Sauf que je suis terrifiée de tout. Des orages, de l'obscurité, d'être délaissée, de sentir mon lit vide, d'être incapable d'aimer mes propres enfants, de ne pas pouvoir être heureuse. J'ai peur de tout cela. Je vis chaque jour avec mes peurs, j'essaie de les oublier, après tout, je n'ai pas le temps de m'y arrêter. Le temps file bien trop vite entre mes doigts de mourante. ϟ Ses rêves • Vous savez. Pour réalisez mes rêves, il me suffirait de devenir une vampire. Alors je serais éternelle, toujours belle, toujours jeune. Cependant, ce ne sont que des désirs superficiels, sans intérêt. La mort viendra à ma porte. Pour le moment la magie me permet de lutter contre la vieillesse, mais pendant combien de temps encore ? Non. Mon véritable rêve aurait été d'avoir une autre vie. J'aurais été dresseuse de chevaux, je vivrais loin de la cours, loin de tout. Je ne serais qu'une inconnue, avec un mari aimant et une fille que l'on ne mépriserait pas. Ma sœur m'apprécierait et n'aurait aucun mépris pour moi. J'en rêve souvent. Parfois je vais jusqu'à prendre des potions de sommeille pour m'y plonger dedans. Cela est presque comme une drogue. J'ai de plus en plus du mal à m'en détacher de ces rêves. Ils sont tout pour moi. Ils sont l'espoir d'une vie meilleure dans l'au-delà.
Quelques questions ϟ
& Avis politiques(passe ta souris sur le titre pour le voir)
Une reine se doit de protéger son peuple. Mais qui est son peuple ? Est-ce des personnes qui vivent sur un territoire ? Non. Un peuple, ce sont des êtres qui avec qui nous sommes liés par l'âme, par les traditions et bien d'autres éléments que l'on ne saisit pas forcément. Je sais qu'autrefois les créatures magiques étaient bridés, menacés. Sans aller jusque là. Je ne les considère pas comme membre de mon peuple. Je les considère par contre dangereuse pour lui. Pour cette raison j'apporte tout mon soutient à la confrérie, sans pour autant être membre de l'organisation, je m'assure qu'ils aient mon aide et j'ai connaissance de certains de ses membres. Je n'hésite pas les aider. Aussi bien financièrement, qu'en usant la garde pour effectuer des missions sur mes ordres. Des gens de confiances. Je n'ai rien de personnel contre les loups garous et les vampires, mais imaginez un sorcier face à un vampire ou un loup garou ? Il ne fait pas le poids. C'est une évidence. Le sorcier ne se contente pas de perdre le combat, il perd la vie. S'ils veulent nous renverser, nous faire payer les erreurs de nos ancêtres, alors nous auront des difficultés pour gagner ce combat et chaque perte humaine est une défaite. Alors voilà, je soutiens la confrérie. Pour être sûrs qu'il n'arrivera à rien à mon peuple.
Alors que tu marches dans l'allée des embrumes pour d'obscures raisons un malfrat de mauvais genre puant comme jamais te menace de sa baguette et demande ta bourse, que fais-tu ? Qu'est-ce que je fais ? Déjà probablement que je n'aurai rien à faire. Parce que pour pouvoir mettre les pieds en un tel lieu seule. J'ai dû faire des pieds et des mains pour échapper à la garde royal. De plus, connaissant ma situation et mon incapacité à me défendre par moi-même, j'aurais un garde du corps avec moi pour me protéger. Oui, je suis une faible femme. Je le sais très bien. Pas du genre à appeler au secours devant la moindre araignée. Toutefois, si on essaie de me balancer des sortilèges ou bien autre chose, je suis en danger. Cela ne m'empêchera néanmoins pas à combattre avec bravoure et force. Blessant tant que je peux mon adversaire et m'assurant que ma famille ne soit pas déshonorée.
Si un jour l'histoire devait retenir une de tes qualités, laquelle ça serait ? Pourquoi celle-ci ? L'inconstance. Ce n'est pas une qualité certes, mais celle que l'on aime me prêter. Avec un mari infidèle, on s'amuse à me voir comme lui. Ce n'est pas vrai. Je ne suis pas infidèle. Au roi, mon mari, je l'ai été une seule fois. A mon vrai amour, l'unique, jamais. On me prête de nombreux amants. Tant mieux. Au moins personne ne se soucis de ma maladie ou de mes autres défauts. Par exemple ma façon de ne pas vouloir me mêler aux courtisans. Ou bien d'avoir ma propre petite cour. Plus sérieusement, j'aimerai qu'on retienne ma bravoure et ma dévotion pour mon peuple. Voilà tout. Je pense que ce sont les principales qualités d'une reine. Être ainsi me comblerait tant.
Alors que tu es dans la rue, tu vois une personne de toute évidence innocente en train de se faire lyncher par une bande de fausses kaïras, des passants s'arrêtent pour filmer la scène avec leur portable, et toi comment réagis-tu ? J'irais à son secours bien entendu. Quelle autre réaction pourrais-je avoir ? Personne n'a le droit de mériter un tel traitement. Je remettrais à la place les mécréants de paroles bien placés, de sortilèges probablement ratés, mais suffisant pour les effrayer. Au pire j'enverrai la garde, j'envoie toujours la garde dans le pire des cas. Ils sont là pour suivre mes ordres et me protéger. Aussi vu que je me ferais probablement attaquer par ces malotrus ils viendront à mon secours bien malgré moi. Je ne suis pas douée pour me défendre, mais cela ne signifie pas que je vais me laisser faire de bon cœur.
Si tu devais raconter un souvenir de ton enfance, lequel ce serait ? Sommes-nous encore enfant lorsque nous avons seize ans ? Beaucoup adolescents de cet âge se réécrirait avec véhémence contre mes propos aux allures ordurières. En tout cas, je me considérais à l'époque encore comme une enfant. J'étudiais à Poudlard, plutôt du genre rêveuse et inattentive. Je vivais une vie que je considérais heureuse. Jusqu'à ce jour, où je reçus cette lettre où se noyait des propos incompréhensibles pour dire une seule chose : que j'allais épouser le prince d'Irlande, devenir reine et que je n'avais pas le choix. Ce jour là j'ai perdu pied. Mon monde s'est écroulé et j'ai cru que jamais je n'aurais pu être heureuse. Le destin s'amuse de toi et m'a prouvé que si, pour me retirer de nouveau cette joie.
En retard, tu es en retard pour un rendez-vous super important. Et bien entendu un imbécile se met en travers de ta route, car il doit te parler de quelque chose de soit disant encore plus important que ton rendez-vous, alors que rien ne peut-être plus important que ton rendez-vous. Que fais-tu ? Moi ? En retard pour un rendez-vous ? Jamais. Une reine n'est jamais en retard, ce sont les autres qui sont en avance. Si la personne tient à me parler et bien déjà faudra qu'elle arrive à faire face à mon armée de demoiselle d'honneur et ne parlons même pas des gardes quand ils m'entourent. Autrefois cela m'est bien arrivé, après tout dépend de l’intérêt de la personne et du rendez-vous. C'est un rapport mathématique très simple et inexplicable. Voilà tout.
Que penses-tu des événements récents (cf: l'intrigue en cours) ? Effrayant. Tout bonnement effrayant et... terriblement excitant. J'ai l'âme d'une aventurière. Ce n'est pas sans raison que j'ai été envoyée à Gryffondor. J'aimerai partir de moi-même à la recherche de ce criminel. Cette nuit éternelle est angoissante, les crimes terrifiants. Ce criminel, va payer. Le sang pour le sang. Je vengerais de mes mains la mort de chaque irlandais, quelque soit sa race.
Bérénice
ϟ Age • 19 ans ϟ Comment as-tu découvert Fearaeon ? • Je suis la fonada ϟ Que penses-tu du forum ? • Il est parfait bien enntendu ϟ Autre compte(s) • Ruby P. Baudelaire & Luna R. Pakers ϟ Free style • I'm queen :3
ϟ Titre & groupe de la musique • Opening GOT ϟ Copyright avatars • angel dust ϟ Copyright icônes • Moriarty ϟ Signature du règlement • Lu & approuvé par Bérénic
Dernière édition par Caelan Tudor le Sam 29 Juin - 20:48, édité 21 fois
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Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Sam 22 Juin - 10:30
Quelques mots font mon histoire
Dés qu’on se met à parler de moi. On raconte mille et un mensonges. Comme quoi ma famille est probablement la plus riche de toute l’Europe, que je suis le fruit de l’inceste, que je me vautre dans la luxure et le foutre avec délice entre deux bouffées d’opium. Malheureusement pour tous ces racontars, ce ne sont que des mensonges et la réalité est bien différente. J’ai bien mérité ces rumeurs, vu que j’en ais lancé la plupart. Quand on veut avoir une vie privé, on n’a pas d’autre choix que d’en posséder une qui délecte le public de rapaces. Cependant je vais mourir. Je le sais depuis plusieurs mois maintenant, mais mon état s’est empiré. On m’assure que cela n’est que passager, une crise. Pourtant je crois entendre la roulotte de l’Anouck venir vers moi. Est-ce simplement une illusion sonore ou bien la réalité ? Quoi qu’il en soit, j’ai décidé d’écrire mon histoire. Pour que tous sache ce que j’ai fait, qui je suis vraiment et que le nom des deux seuls êtres que j’ai vraiment aimé ne soit pas entachés par le fait que j’ai eut la lâcheté de céder à la maladie. Il y a des batailles que l’on ne peut gagner disait mon père. Il y a toutefois quelque chose dans mon sang qui m’empêche de reconnaitre une défaite. Alors ceci est mon premier coup d’épée contre ce poison qui me dévore de l’intérieur.
Commençons par l’histoire de ma famille. Les Rembrant. Ma famille est issue d’une modeste bourgeoise, banquier sans vergogne, ils apportèrent leur soutient financier aux Tudor et obtinrent leur premier titre de noblesse de cette manière. Par la suite diverses alliances leurs permis de monter socialement, toujours plus haut et toujours plus proches du pouvoir. Mon père n’était pas l’ainé de la famille, aussi partit-il s’installait en France, pour un temps plus clément et une demoiselle des plus charmantes. Il fit pendant cinq ans la cour à la mère. Quelque chose de bien romantique que l’on oublie. Pendant cinq ans, tout ce qu’il réclamait c’était un regard de sa part. Ce n’est pas une vulgaire drague ou autre concept de ce genre. Non, il lui fit vraiment la cour. Pour elle, il apprit parfaitement le français, à jouer du violon, à composer les plus beaux poèmes et à écrire de la manière la plus délicieuse qui soit. Au terme des cinq années, alors qu’elle l’autorisait à aller plus loin, il demanda à mon grand-père maternel l’autorisation de continuer sa cours de manière plus pressante disons nous. Mon grand-père maternel refusa tout bonnement. Hors de question pour sa très chère enfant qu’elle épouse qu’un second fils. Alors il fit ce qu’aujourd’hui on ne croit plus, il enleva la belle et l’épousa en secret. Tout va très vite, je le reconnais moi-même. Tout cela aussi est follement romantique et je me demande si la vérité est entière dans ces propos. Ma mère affirme que oui, mais parfois je me demande si elle n’a pas brodé une partie de l’histoire pour cacher la déception qu’est devenu mon père.
J’ai toujours eut le souvenir de vivre une enfance heureuse dans le sud de la France. Nous vivions de la manière la plus simple qui soit parmi les moldus. Ils étaient nos vassaux, nous étions leurs seigneurs. Il est étrange de parler de tels liens pour un peuple très libre comme les français, après tout n’ont-ils pas décapité leurs anciens souverains ? Les mots dont j’use ne sont pas exact, je dois bien l’admettre. Ils sont ce qui approche le plus de la réalité. Demoiselle de la haute société, je fus élevée par ma mère en partie, mais aussi par des précepteurs qui complétèrent mon éducation. J’étais une enfant très exubérante, préférant la compagnie des braves fermiers et de leur bêtes que des violons et de la littérature. J’étais perdue dans une pastorale vivante. Berger et bergère étaient mes amis, je connaissais les agneaux et les veaux. Mes genoux étaient écorchés et ma chaire mis à vif à force de courir après les bêtes égarées pour les ramener dans le troupeau. On me pardonnait tout cela avec indulgence. Après tout, je n’étais qu’une enfant et on n’attendait rien de moi, simplement de vivre et d’être heureuse. Cela ne sont pas des choses bien difficiles. Du moins à l’époque cela ne l’était pas. Maintenant j’avoue en douter un peu plus et parfois je me surprends à regretter que mon destin ne soit pas celui d’une petite bergère ou d’une gardeuse d’oie, me disant que la vie serait si simple.
Pourquoi tout a changé ? Le frère de mon père, l’ainé de la famille, est décédé. Parfois l’heure d’un homme arrive plus tôt que celle attendue. Mon père devint donc l’héritier du duché. Sans plus attendre, on m’arracha - avec ce que je considérais à l’époque brutalité – de ma douce enfance. Fille ainée, je devenais à mon tour future héritière. Ce fut pour la première fois que je sentie des milliers de pairs d’yeux se poser sur moi et à partir de ce jour-là, plus jamais elles ne se détachèrent de moi. Rapidement mon enfance devint plus qu’un lointain souvenir. On m’imposa de devenir une demoiselle de la cour. Mes amis ne pouvaient être que nobles et sorciers, mes rares heures de temps libres étaient passés à me faire bien voir de la cour et au fond la seule liberté que j’avais c’était pendant les heures de cours qui se succédaient les unes après les autres. On déplora mon retard en musique, littérature et bonne manière. On s’insurgea devant mon anglais médiocre et mon incapacité au chat. On se révolta contre ma démarche et ma tenue. Tout était à refaire. Entre leurs mains je n’existais plus, je me faisais modeler peu à peu à l’image qu’on attendait de moi. Je n’étais pas une enfant soumise. Je n’avais pas l’habitude à tout cela. Alors je me révoltais, je me rebellais et me soulevais contre ce qu’on m’imposait. Alors les privations tombèrent, jamais de la maltraitance, mais des privations tout de même. L’affection d’une mère qui disparait et qu’on éloigne d’un enfant. Un père qui pose sur vous un regard remplit de regret et de déception et que l’enfant se retrouve à interpréter à tord, persuadé d’être alors la pire infamie qui soit. Les jouets, les camarades, les rares sorties, les leçons d’équitations, les visites aux jardins, tout cela m’échappait entre mes doigts dès que je ne faisais pas ce qu’ils désiraient. Je suis une faible âme. Je n’ai pas le courage des gryffondors et j’apporte le déshonneur sur ma maison. Je pourrais avancer l’argument de mon jeune âge, mais rien n’explique une âme faible comme la mienne. Je me suis soumise à ce qu’ils désiraient pour retrouver mes rares plaisirs. Cela ne plaisait pas à mes parents, mais eux qui n’arrivaient pas à choisir leur propre destin, comment pouvait-il choisir celui de leurs enfants ?
Je n'ai pas étudié à l'école moldu. On a jugé probablement dangeureux que je retrouve une certaine liberté. Aussi, même si je fréquentais régulièrement les moldus, je restais pour mon plus grand regret donc en compagnie de mes précepteurs sans charme. J'apprenais tant bien que mal ce qu'on voulait bien m'apprendre. J'apprenais la même chose que mes petits camarades. Cependant à la différence des enfants normaux, j'apprenais seule. Ma vie était triste et morne. Ma sœur était probablement la seule enfant qui arrivait à me tenir compagnie et que je supportais. Je détestais ces petits nobliaux qui se sentaient supérieur aux autres, qui voulaient qu'on corresponde à l'idéal de leurs parents. Je préférais la compagnie des enfants des serviteurs et du fou du roi. Enfant, je m'amusais à fuir les uns et les autres. N'acceptant l'amitié que l'on me proposait que lorsque les menaces de mes parents faisaient effet sur moi. Toutefois s'ils avaient réussit à me retirer la joie d'aller à l'école moldue, ils ne purent faire de même pour Poudlard. Mon inscription à Poudlard était une évidence. Le choipeau eut a peine le temps d'effleurer ma tête que je me retrouva envoyer à Gryffondor. Une maison dont j'en tirais l'une de mes plus grande fierté. Les années à Poudlard furent probablement mes années les plus heureuse. J'y passais malheureusement beaucoup trop de peu de temps. Sept années seulement, pas plus. Pendant ces sept années je fis de merveilleuse de rencontres. Certaines lamentables, mais chacune m'apportaient une expérience. Je vous passe ces années de joie et de bonheur. J'étais heureuse, voilà la seule chose qui compte. Puis je reçue cette lettre, en sixième année. Je devais devenir reine d'Irlande. Épouser la prince actuel. Faire ce qu'on attendait de moi. On me laissa une année de répit. Juste un an, c'est bien trop peu. Bien trop court. Juste le temps que je devienne majeur. Puis j'ai quitté Poudlard. De tout façon, à quoi des études me servirait pour devenir reine d'Irlande ? A rien, tout simplement à rien, J'ai donc arrêté les études et je suis devenue princesse d'Irlande. Ma vie a alor changé du tout au tout. Je n'étais qu'une gamine, une gamine vide, je n'étais pas prête pour devenir une reine. Sauf qu'on ne me laissait pas le choix.
Gauvain ne s'interessait pas à moi. Il ne s'est jamais à interesser à moi. Pour lui je n'était qu'une emmerdeuse de première. Veuillez me pardonner mon vocabulaire, mais c'est la strcite vérité. Jamais je n'ai sentie en lui une once intérêt pour ma personne. J'étais une femme qu'on lui imposait, lui détruisant la vie par la même occasion. Cela aurait pu nous rapprocher. Deux malheureux obligés de se marier, tant d'autres avaient réussis, alors pourquoi pas nous deux ? Peut-être à cause de nos caractères. Peut-être pour d'autres raisons. Quoi qu'il soit, je n'arrivais pas à me rapprocher de lui. Bien que je sois habituée à Mellow Blue Castel, y vivre fut une chose bien différente. En particulier en tant que princesse dauphine, futur régente d'Irlande. On attendait beaucoup de moi, beaucoup trop. Les nobles de la cour, ma famille, tous me regardaient, inspectaient le moindre de mes faits et gestes. J'étais espionnée, épiée, détruite. Je n'étais pas libre. J'étais enfermée. Sauf avec lui. Eoghan. Il n'était qu'un né moldu. Il était le maître des écuris, des chenils et de tous les animeaux de la couronne. Il s'en occupait avec amour et traitait fermement ceux qui travaillaient sous ses ordres. Devant lui bien des servantes gloussaient avec plaisir et même certaines belles dame de la cour lui jetait des petis regards émoustillés. Il était beau et charmant, je n'avais pas le droit de l'aimer. Il était bien plus âgé que moi qui plus est. Pourtant mon cœur s'est laissé adoucir par ses manières un peu rustre. Il m'apprit comment dresser les cheveaux et bien les entretenir. Il me disait en riant qu'on lui couperai la tête pour se montrer aussi familier avec la futur reine d'Angleterre. Cependant ce n'est pas pour cela qu'on lui coupa la tête. Je ne sais comment cela m'est tombé dessus. C'est une chose que l'on nomme l'amour. Quand j'ai compris ce qui m'arrivée il était trop tard, j'étais sous son charme. J'imaginais dans mes pensées mille et une folle romences qui se conlcuaient toute par un merveilleux mariage. J'avais même organisé un plan pour que nous prenions la fuite. Cependant lui eut le bon goût de m'arrêter et m'offrir une simple nuit. Une nuit. Ce n'est pas grand chose. Si ? Après tout le futur roi, mon mari, courait les maîtresses et cela se savait fort bien. On avait prit l'habitude de pousser dans son lit des dames de la cours pour les engrosser et espérer qu'un batard les feraient monter dans les rangs de la société. Je n'ai jamais tiré aucun plaisir de ses rapports sexuels. Au point que je me suis demandée autrefois si le sexe était toujours aussi douloureux et comment les gens pouvaient y prendre de plaisir. Une nuit. Il m'a offert qu'une seule nuit, mais la plus merveilleuse de ma vie et la pire en même temps. Je ne sais pas comment on découvrit notre relation, mais on l'a découverte, c'est un fait. Alors que je m'endormais dans ses bras on nous tira hors du lit. Ce ne fut pas la garde royale, mais des soldats qui furent proprement éliminé par la suite pour étouffer l'affaire. On m'éloigna de la cour quand on découvrit que j'étais enceinte. Je vivais seule, avec ma sœur pour seule compagnie. Quand on revint il était mort. Proprement décapité. La raison était une trahison à la couronne. Probablement pouvait-on appeler cela comme ça. Moi j'étais devenue tante d'une enfant qui était la mienne. Ma sœur avait accepté de devenir sa mère. J'aurais dû refuser. Depuis je suis son éternelle débitrice. Mais jamais je n'aurais cru que ma sœur aurait tant demander de moi.
Je n'étais pas le genre de femme qui enchaînaient les intrigues. Cependant les années sont passées. Je ne suis plus une jeune demoiselle innocente et naïve. La mort du seul être que j'aimais ma détruite. Maintenant je participe aux intrigues, avec dégoût, mais ma sœur ne me laisse pas le choix. Je dois le faire si je peux voir ma fille. Elle grandit loin de moi, sous mes yeux. Chaque jour elle devient de plus en plus belle. Chaque jour elle s'éloigne un peu plus de moi et je ne peux rien lui apporter. Ma vie à la cours est devenue très banale. Je pourrais parler du jour où je suis devenue reine, de mon couronnement. Oui, je pourrais vous parlez de toutes ces choses, mais je ne vous en parle pas, car cela n'est pas moi. Cela est simplement mon rôle de reine. Et puis, il vous suffit de lire les journaux, les documentaires et autres informations plus ou moins subtils à mon sujet. Il y a juste une dernière chose que je dois vous dire : je vais mourir. Un empoisonnement. Ce sont des choses qui arrivent quand une reine est obligée de participer à des intrigues. Officiellement je suis faible, malade, mais rien de très dangereux. On doit simplement faire attention à ma santé. J'aimerai que l'officiel soit officieux aussi. Officieusement mes jours sont comptés. On ne sait pas quand je vais mourir, quand est-ce que le poison va m'emporter. On ne peut rien pour moi. On a essayé mille et une chose et un jour j'ai dit stop. Je n'en pouvais plus. Je n'accepte pas la mort. Je me bats à ma manière, mais je refuse tous les soins que l'on tente de me donner. Je suis reine maintenant, personne n'est au dessus de moi, même pas le roi. Alors si j'ai décidé que je ne me soignerai plus, personne ne peut me l'ordonner. Lentement je me meurs, je sens la vie qui m'échappe. Par chance cela ne se voit pas tout le temps, mais trop souvent à mon goût je suis lasse de vivre. Mélancolie, fatigue intense, pouvoir instable. Tels sont mes symptômes. Alors oui parfois j'accepte de prendre un pseudo remède pour donner l'impression que je vais bien. Pour mieux mentir. Toutefois rien n'empêche ma marche si certaine vers la mort.
Dernière édition par Caelan Tudor le Sam 29 Juin - 20:43, édité 10 fois
Évely M. Black
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Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Sam 22 Juin - 11:34
Re-bienvenue alors, la Reine :p
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ϟ Crédits : C'est écrit dessus.
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ϟ Age du personnage : 19.
ϟ Idéologie politique : Aucune. Lily aime autant les moldus que les créatures magiques, et ne deviendra violente que si on l'agresse.
ϟ Année : 5ème à Serpentard.
ϟ Capacités : Balance très bien les coups de poings.
ϟ Nationalité : Anglaise.
ϟ Race : Sorcière, animagus chien non déclaré.
ϟ Credo : On sous estime souvent les mots. On pense qu'ils sont anodins, mais c'est faux : Les mots sont des armes tranchantes. Une fois prononcés, ils restent suspendus, ils s'accrochent. Ils se collent sur une paroi invisible, pas très loin des étoiles, de telle façon que leur propriétaire ne peut plus les récupérer. Les mots sont des assassins. Les mots sont des magiciens.
Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Sam 22 Juin - 14:14
Votre Majesté. *courbette* Profite bien, Lily sera la seule à s'incliner. :3
Rose G. Parkers
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ϟ It's just me :
ϟ Age du personnage : 19 ans
ϟ Idéologie politique : Les idées de la Ligue.
ϟ Année : 5 ème, Poufsouffle
ϟ Capacités : fine psychologue, manipule sans le faire exprès, se rappelle des paroles de toutes les chansons qu'elle écoute, est capable de parler sans jamais s'arrêter, la danse, les potions
Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Sam 22 Juin - 15:46
Bienvenuuuue x) Bon choix, une jolie reine :P
Caelan Tudor
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ϟ It's just me :
ϟ Age du personnage : 39 ans, mais fait plus jeune naturellement et grâce à l'aide de quelques potions.
ϟ Idéologie politique : Membre de la confrérie, surtout par crainte des vampires et des loups garous. Des êtres qui peuvent vous tuez d'un coup de crocs, comment leur faire confiance ?
ϟ Métier : Reine d'Irlande
ϟ Nationalité : Irlandaise
ϟ Race : Sorcière
ϟ Révèle-toi : D.C. de Ruby P. Baudelaire & Luna R. Parkers. Compte secondaire, veuillez m'envoyez les m.p. plutôt sur le compte de Ruby ;)
ϟ Nous a rejoint le : 22/06/2013
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Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Sam 22 Juin - 17:57
Huhu merci
Sanders A. Tudor
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ϟ Idéologie politique : Totalement pacifiste, anti-extrèmistes, il se battrait autant pour les sorciers, les moldus et les créatures magiques car pour lui tout le monde est sur le même monde : tous doivent apprendre à vivre ensemble
ϟ Métier : Conseiller du roi d'Irlande - Médicomage de la cour - Ecrivain
ϟ Capacités : Empathie - peut soigner n'importe qui et n'importe quoi - a une mémoire impressionnante - peut courir des heures sans se fatiguer
ϟ Nationalité : I'm Irish and proud to be !
ϟ Race : sorcier - sang mêlé - sang royal - bâtard
ϟ Credo : Ne perds pas ton temps à répéter que le monde te doit quelque chose. Le monde ne te doit rien. Il était là avant toi. Alors demande toi qui tu veux être et fait ce qu'il faut pour.
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Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Dim 23 Juin - 19:27
LA REEEEEEEEEEEEEEEINE ! OMG =) Cersei en plus ! Je t'aime je t'aime je t'aime !
Re- Bienvenue belle soeur ! On a des liens à se faire nous ! =)
Surtout si tu es malade =)
Caelan Tudor
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Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Sam 29 Juin - 20:49
Auto validation de flemmarde.
Boggart
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Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis. Sam 13 Juil - 22:12
Félicitations, tu es validé !
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Sujet: Re: Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis.
Dés le premier souffle de notre vie. Nous sommes des morts en sursis.