ϟ Capacités : capable de se couper entièrement du monde n'importe où,créative en pâtisserie, photographe plutôt douée, gestionnaire hors pair, a un sixième sens pour sentir le mensonge, trouve presque toujours du premier coup le chocolat parfait pour chaque personne
ϟ Nationalité : Anglaise et Italienne
ϟ Race : Sorcière
ϟ Credo : Garder une âme d'enfant est l'essentiel. Emérveille toi, chaque jour!
ϟ Révèle-toi : Le chocolat, c'est la vie! Viens dans ma boutique te faire corrompre par mes délices sucrés...
ϟ Nous a rejoint le : 11/03/2013
« We are One. »
Sujet: Like a sweet angel Dim 24 Mar - 22:26
I.D. CARD ϟ
ϟ Age • 28 ans ϟ Date de naissance • 18 juin ϟ Race • Sorcière ϟ Nationalité • Irlandaise et italienne ϟ Origines • Irlandaise de pas son père et italienne de par sa mère
ϟ Métier • Pâtissière-chocolatière ϟ Demeure • Un joli appartement de 4 pièces au-dessus de sa boutique ϟ Idéologie politique • Neutre, aimerait que la paix revienne ϟ Préférence sexuelle • Hétérosexuelle ϟ Statut amoureux • Célibataire
ϟ Son avis sur les livres de Rowling • Elle a beaucoup aimé ces biographies romancées mais se demande parfois si c'était une bonne idée de tout révéler au monde, elle aimerait que la guerre cesse. ϟ Capacités • Est capable de se couper entièrement du monde n'importe où, invente de nouvelles pâtisseries tous les jours, est une photographe plutôt douée, est une gestionnaire hors pair, a un sixième sens pour sentir le mensonge, trouve presque toujours du premier coup le chocolat parfait pour chaque personne. ϟ Credo • Garder une âme d'enfant est l'essentiel. ϟ Petites manies • passe sa main dans ses cheveux quand elle stressée, ne supporte pas le mensonge, mordille sa lèvre quand elle est mal à l'aise ou gênée, devient hyper bavarde quand elle a bu un verre, est quelqu'un de très tactile et a donc besoin de toucher les gens et les prendre dans ses bras (ceux qu'elle connaît évidemment, quoi que...) ϟ Projet d'avenir • Pouvoir engager quelqu'un dans sa boutique et ouvrir une deuxième boutique tout près de Poudlard.
ϟ Ses passions • La photographie en argentix, développer ses propre photos, le chocolat, inventer de nouvelles pâtisseries. ϟ Ses peurs • Elle a peur du noir (elle dort avec une genre de veilleuse magique allumée), elle a une peur panique de l'eau ayant failli se noyer étant enfant. ϟ Ses rêves • Trouver l'amour, l'amour avec un grand A.
Avatar de barda doll
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ϟ Pseudo • Sorayia ϟ Age • 25 ans ϟ Comment as-tu découvert Cracbadaboum ? • Ben, je suis là depuis le début (ou presque) évidemment x) ϟ Que penses-tu du forum ? • Que dire? Que dire? J'adore, bien sûr! ϟ Aimes-tu les patacitrouilles ? • Ouiiiiiiiiiiiiiiii, je les aime, je les vénères... et j'adore les dépenser *.* ϟ Autre compte(s) • Aucun pour le moment (a) ϟ Free style • Abracadabraaaa et pomme d'api! Prends un peu de sucre et la vie devient plus douce.
ϟ Ton avatar • Jessica Stroup ϟ Titre & groupe de la musique • Guardian Angel, Red Jumpsuit Apparatus ϟ Signature du règlement • Lu & Approuvé
Abbygail Cristina Fitzpatrick Gérante d'une chocolaterie • • •
Once upon a time
C’est une histoire bien banale qui nous occupe ici, mais je vais quand même vous la raconter. Moi, c’est Abbygail Cristina Fitzpatrick, je suis née le 18 juin, il y a 25 ans, à Londres. J’étais désirée et est née d’un couple qui s’aimait et qui m’ont aimée. Mon père, Edward Fitzpatrick, est d’origine irlandaise et est arrivé en Angleterre peu après ses 20 ans pour travailler, c’est un sorcier. Ma mère, Maria Ricci, est née sorcière, à 20 ans, elle étudiait pour devenir infirmière. Ma mère est arrivée en Angleterre à 17 ans avec ses parents lors de leur immigration pour chercher du travail. Mes parents se sont rencontrés à 20 ans, dans la banlieue Londonienne où ils vivaient tous les deux, ils sont devenus amis puis se sont aimés. La mixité n’était pas forcément bien vue, mais ils ont fait fi des oppositions et sont restés ensemble malgré tout. Ils se sont mariés juste avant de fêter leurs 30 ans. Je suis née lorsque ma mère avait 34 ans. J’étais un ravissant petit poupon à la peau claire et aux cheveux noirs de jais, mes yeux étaient presque noirs et elle avait deux jolies taches de naissance, une en forme de cœur au creux de la cuisse gauche et un genre de demi-lune au creux des reins. Je suis fille unique, élevée dans une famille mixte et aimante, mon temps était partagé entre les deux mondes. Mon enfance a été agréable et insouciante, malgré la guerre qui faisait rage dans le monde. J’étais gâtée mais pas pourrie, protégée mais pas couvée…
Jusqu’à mes 11 ans, j’ai principalement grandi dans le monde moldu, y allant à l’école. Je m’y suis fait pas mal d’amis, mais je devais toujours faire attention de ne pas dévoiler les secrets du monde magique… C’était super dur, j’avais plutôt envie de dire à toutes mes copines, comment c’était trop cool. Puis je reçus enfin ma lettre pour Poudlard. J’étais heureuse, complétement surexcitée. Mon père était un peu triste, pas que je quitte le monde moldu, plutôt à cause du fait que je devais quitter la maison. Le jour où il fallait s’y rendre, j’étais bouillonnante d’excitation, je sautillai dans tous les sens, n’ayant qu’une seule hâte : voir enfin le château ! Enfin ! Enfin, ce jour était arrivé ! Le voyage et l’arrivée à Poudlard se passèrent à une vitesse folle. Je fus envoyée à Poufsouffle. J’ai passé de splendides années entre les murs de ce château. Je m’y suis fait quelques très bons amis. J’étais assez bien intégrée dans la vie du Château, je fus membre de l’équipe de Pompoms girls de ma maison. J’étais assez sage à Poudlard, même si quelques un de mes amis m’embarquaient parfois dans des trucs impossibles… Malgré tout, j’ai toujours tout fait pour rester en dehors des conflits. Bien qu’ayant passé de nombreuses années dans le monde moldu et connaissant parfaitement la technologie et en possédant, je ne m’affichais pas avec partout, je faisais toujours attention à ce que je faisais, avec qui j’étais. Je n’aimais pas les ennuis et je voulais les éviter à tout prix.
Malgré le fait que je me faisais tout de même un peu cahuter, je me suis plutôt bien débrouillée pour éviter les ennuis. Enfin, seule une fois… Lors de ma dernière année au château, lors d’une soirée de novembre, je fus prise à parti par un groupe d’anti-moldu avéré… Il détestait les né-moldus et je me suis retrouvée sous les feux de ce groupe en essayant de protéger une élève plus jeune que moi qui était martyrisée par un groupe de garçons et de filles violents de Poudlard. En voulant la protéger, elle a pu filer avant de se faire corriger, mais c’est moi qui est pris sa place. Je me suis fait passer à tabac en bonne et due forme. Ce fut un garçon de ma maison qui me retrouva à demi-inconsciente au bas des escaliers descendant au cachot. Il m’emmena à l’infirmerie où je dus passer presque une semaine pour me remettre de mes blessures. Cet épisode de ma vie me rendit méfiante, triste et solitaire.
A la sortie de l’école, je fus engagée dans un restaurant, je voulais apprendre à faire la cuisine comme il faut. C’était une de mes passions et je voulais devenir excellente ! Je préférais cuisiner le sucré, mais il fallait déjà que j’apprenne les bases. Je fus formée durant 2 ans dans un excellent restaurant sorcier du Sud de Londres. L’apprentissage était difficile mais je ne me consacrais qu’à cela… je ne sortais pas, n’avait pas vraiment d’amis. Je vivais dans un petit studio pas très loin du restaurant et les seuls trajets que je faisais, c’était du restaurant au studio et du studio à l’épicerie pas loin de chez moi. Ma vie était rythmée par le boulot et uniquement par le boulot. La solitude me pesait mais je n’arrivais pas à faire confiance, alors je restais enfermée. Et puis les choses changèrent. Je rencontrai un garçon, c’était celui qui m’avait emmené à l’infirmerie. Lentement, il arriva à me dérider, à me faire rire et à lui faire confiance. Et puis le temps passant, il m’apprit à me refaire confiance et à sortir à nouveau de ma coquille. Moi, qui avait été une fillette pleine de vie et de malice, j’étais devenue un peu comme un zombie et voilà que je redevenais la petite fille que j’avais été. On se mit en couple au bout d’un an et demi, j’étais enfin bien. Bien dans ma vie, dans mes baskets… le changement se vit au fil du temps. Je me fis quelques amis, je recommençais à sortir, même parfois seule pour marcher à travers Londres. Je n’avais plus peur de tout et ça faisait un bien fou. Pour ce changement, je m’offris un beau cadeau, je me fis tatouer les mots « carpe diem » sur les côtes au niveau du sein, sur le côté droit.
Après cet apprentissage et tous les changements de ma vie, le restaurant où j’avais été formée voulut m’engager à plein temps, mais je refusais l’offre. A 23 ans, j’entamai donc une nouvelle formation de pâtissière cette fois-ci, c’était cela ma vraie passion. J’aimais travailler le sucre et voir le sourire sur les lèvres des gens qui s’offraient un petit plaisir coupable. Durant ces années, je vécus un bel amour avec cet homme que j’aimais et en qui j’avais une entière confiance. Après un an de pâtisserie, je voulais partir en Amazonie pour rencontrer les tribus primitives qui furent les premières à travailler le cacao et le transformer en chocolat. Après des mois d’hésitation et de nombreux encouragements de la part de mon amoureux, je suis finalement partie à leur découverte avec un simple sac sur le dos et mes chaussures de marche. J’ai passé presque 6 mois dans cette tribu, où j’ai appris de nombreux secrets et de nouvelles manières de travailler le cacao, absolument inédites en Angleterre, du moins. L’intégration avait été difficile, mais j’avais fini par me faire accepter et ils m’avaient livré leurs secrets. Durant mes six mois et les différentes cérémonies auxquelles je dus passer au travers, je ressortissais de cette expérience avec quelques signes distinctifs en plus… deux tatouages et deux piercings (une ankh sur le bas du ventre, une phrase en amazonien en forme d’oiseaux s’envolant sur l’épaule et pour les piercings, il y en a un au nombril et un sur le téton droit. En 6 mois, j’étais devenue une vraie petite rebelle.
Je rentrais ensuite au pays pour retrouver mon amoureux. On avait pas vraiment pu beaucoup communiquer sur les six mois mais il m’avait promis qu’il serait encore là même après une si longue absence. Malheureusement, ce ne fut pas le cas, arrivée en Angleterre, j’allais sonner chez lui, mais ce n’est pas lui qui m’ouvrit… Il avait quitté son appartement 2 semaines après mon départ et un nouveau locataire était dans cet appartement. Ne comprenant pas ce qui se passait, je me mis à le chercher, mais je ne le trouvais nulle part. Personne n’avait plus entendu parler de lui… ni ses amis, ni les endroits où nous avions nos habitudes, personne ! Effondrée, je me réfugiai chez mes parents pour quelques jours. Refusant tout de même de me laisser à nouveau abattre comme j’avais pu l’être avant qu’il arrive dans ma vie, je décidai de garder nos bons moments et de retourner à Londres. Je voulais continuer à rêver et à avancer ! Je décidai donc de poursuivre mon rêve, celui dont je parlais si souvent avec lui et commençait à chercher un emplacement pour la pâtisserie tea-room que je voulais ouvrir. En attendant de pouvoir arriver à l’ouvrir, je travaillais dans un restaurant de luxe afin de pouvoir mettre l’argent nécessaire de côté. Et puis je le trouvai enfin…. L’emplacement idéal ! Une charmante petite boutique sur le chemin de Traverse. Avec chance, le chocolat est autant aimé des moldus que des sorciers et même des loups garous, donc le succès fut assez rapide. Ne pouvant pas tout de suite me permettre d’engager quelqu’un… je bossais comme une dingue, me levant à 3h du matin pour commencer à cuisiner et me couchant hyper tard. Je suis un peu hyperactive et je ne dors jamais plus de 5 heures par nuit, sauf quand je fais une soirée trop longue ! Mais ces derniers temps, je ne sors plus vraiment, enfin disons jamais bien tard.
Restant parfaitement hors du conflit qui occupe tant de gens, j’aimerais que la paix puisse enfin être quelque chose de réel et pas juste une idée politique. Pour le reste, l’homme qui m’a aidé reste dans mon cœur et je continue de le chercher, mais je n’ai pas encore trouvé une sale trace de lui, j’espère qu’il ne lui est rien arrivé... L’espoir de le retrouver est toujours là, quelque part au fond de mon cœur.