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 Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !

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Boggart

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MessageSujet: Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !    Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !  Icon_minitimeMer 10 Juil - 8:50




Depuis plusieurs mois, tout le monde n'a sur les lèvres qu'un nom : Fairy Earl. Leur devise ? De l'intérieur, c'est encore plus grand. Bien qu'elle ait les apparences d'une minuscules boutiques, elle est probablement le plus grand commerce de tout Pré-au-lard. Premier supermarché sorcier, Fairy Earl propose des produits magiques en tout genre qui feront le bonheur de toutes les races. Cependant, il semblerait que l'ouverture ait attiré le regard du Gamer et un roudoudou est en train de se balader dans le magasin, recherchant un micro.
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John W. Rook

John W. Rook
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MessageSujet: Re: Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !    Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !  Icon_minitimeJeu 11 Juil - 11:13

12 Septembre 2163


Pré-au-Lard... Cela faisait un bon moment que John n'y avait plus mis les pieds. L'endroit n'avait pas beaucoup changé... Toujours la même petite ville, envahie par les élèves de Poudlard, les magasins profitant de leur présence pour remplir leurs caisses. Le musicien trouvait cette ville ennuyeuse à cause du manque de choses à faire. Le seul intérêt de cet endroit se résumait à pouvoir boire un coup en bonne compagnie aux Trois Balais ou à la Tête de Sanglier...
Enfin, ça c'était avant l'apparition de Fairy Earl, un nouveau supermarché, le premier de sa catégorie puisqu'il s'agissait d'un supermarché magique...
Certains disaient même qu'il suffisait de penser à quelque chose pour qu'elle apparaisse dans les rayons ! Enfin, tout ceci n'étaient que des rumeurs car le lieu était ouvert au public pour la première fois ce jour-là.
Néanmoins, il demeurait évident que pour une ouverture, les lieux allaient être bondés, un peu comme une journée des soldes... Mais bon, Johnathan n'était pas là pour faire du shopping mais pour gagner sa vie. Il lui fallait de l'argent et pour l'ouverture, Fairy Earl avait décidé d'engager des musiciens afin d'organiser un spectacle, dans le but d'avoir plus de clients. Ce fut pour cette raison qu'il se baladait avec son étui à guitare sur le dos et un petit sac en bandoulière.

En arrivant sur la place où trônait le dit-magasin, le chasseur se rendit compte que le bâtiment semblait tout petit. A peine cinq mètres de haut pour vingt mètres de large. Pré-au-Lard demeurerait Pré-au-Lard en fin de compte ! Un sourire se dessina sur les lèvres de John. Et en vue de la file d'attente, tout le monde n'allait pas pouvoir entrer dans le fabuleux magasin. Le travailleur prit alors l'entrée latérale réservée aux employés et aux artistes de la journée. Grâce au badge qu'on lui avait envoyé, il put enfin pénétrer dans les locaux. A l'intérieur se tenait un magasin de 10 étages qui s'étendait à perte de vue. Etonné par ce sortilège, il ressortit, sous le regard amusé du gardien, examina à nouveau l'extérieur des lieux puis rentra à nouveau.


C'est plus grand à l'intérieur qu'à l'extérieur... se dit-il à lui-même.

Vous croyez ? J'avais jamais remarqué ! lui répondit ironiquement le gardien. Enfin, ne le prenez pas mal, c'est juste que j'ai eu le droit à cette remarque au moins dis fois depuis tout à l'heure !

Ne se vexant pas pour si peu, le sorcier lui adressa un sourire avant de lui demander où il pourrait poser ses affaires et où allait avoir lieu le concert. Malgré la taille du bâtiment, le déplacement en son sein se révélait plutôt enfantin. On pouvait trouver un peu partout des cages d'ascenseur. Il suffisait d'appuyer sur le bouton d'appel, attendre l'ouverture des portes, rentrer dans l'ascenseur, appuyer sur le bouton souhaitée (énoncer à l'oral sa destination pouvait entraîner des conséquences innatendues) et l'ascenseur se déplaçait magiquement jusqu'à sa destination. En fonction du poste de la personne qui entrait dans l'ascenseur, le choix des destinations étaient plus restreints.
Après avoir déposé ses affaires dans sa loge, le chanteur décida d'aller visiter l'étage réservée aux artistes. On y trouvait de tout, sonos, instruments, micros, pédales ou encore amplis. Les prix étaient élevés mais encore abordables. Il s'acheta alors une nouvelle guitare électrique à 2 Gallions 50 penny. Même le système de paiement étaient adaptés pour chaque étage et les ascenseurs permettaient même de se rendre au Chemin de Traverse si on avait besoin de liquidités.Une fois son nouvel achat effectué, il ne put s'empêcher de l'essayer immédiatement.

Au bout de quelques minutes, un petit attroupement se forma autour du guitariste qui s'amusait de cette petite notoriété. Johnathan les invita à se rendre au concert qui se déroulera sur la scène de cet étage dans une petite demi-heure. Il rangea alors sa nouvelle guitare dans son étui, vendu avec la guitare.
Soudainement, une annonce résonna dans tout l'étage.


Suite à un accident technique, l'étage consacrée à l'art et à la musique est condamné. Il est impossible d'y entrer ou d'en sortir. Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée, nos techniciens travaillent déjà à la résolution de ce problème...

Génial...

Etant bloqué ici avec sa nouvelle guitare, autant aller visiter les lieux... Au détour d'un couloir, il découvrit 3 hommes profondément endormis. D'après son expérience, John se rendit compte qu'il n'était pas victime d'un sortilège ni d'une quelconque potion. En tout cas, cela n'annonçait rien de bon. "L'accident technique" n'allait pas être aussi facile à résoudre que ça... En observant de plus près les lieux, le chasseur remarqua un micro, visiblement jeté par terre...
Qu'est-ce que tout ceci pouvait bien vouloir dire ?


Sans qu'il puisse s'en défendre, quelque chose l'agrippa dans le dos et le colla contre un mur. L'homme qui le tenait avait une trentaine d'années, les yeux noirs, la peau halée et une haleine fétide de loup-garou. Heureusement qu'il avait posé sa nouvelle guitare par terre sinon cela aurait été un véritable massacre.
Cependant, l'homme n'était pas seul. Derrière lui se tenait une femme, elle aussi d'une trentaine d'années, aux cheveux roux et au visage extrêmement connu. Elisabeth Boleyn, première ministre du Royaume-Uni et aussi une alliée diplomatique de Merida, sa tutrice. Autant ne pas éveiller de soupçons et ne pas créer de problèmes sinon la reine des vampires lui en tiendrait rigueur !
Le garde du corps qui tenait John prenait visiblement son boulot un peu trop à coeur puisqu'il commençait à faire souffrir John qui serrait les dents pour ne pas crier. Ne se laissant pas faire, il donna un bon coup de genou dans le ventre du garde du corps qui relâcha sa prise pendant une bonne dizaine de secondes avant d'essayer de le frapper au visage. Mais John comprit qu'il valait plutôt calmer le jeu que de créer un problème supplémentaire.


Madame, je vous prie de m'excuser mais je me suis senti menacer et j'ai agi pas instinc ! John se tourna vers le garde, la main tendu. Je vous prie de bien vouloir m'excuser, s'il vous plaît !

L'homme ne lui serra pas la main. Visiblement, il attendait la réponse de la première ministre. Il valait mieux désamorcer la situation avant que tout ne lui explose à la figure. De plus, les trois hommes qui se trouvaient au sol ne le rendait pas si sympathique et gentil qu'il aurait voulu... Même si cette fois, il n'y était pour rien !

Puis de toute façon, je pense que nous avons un problème plus grave à régler ! dit-il en montrant les trois hommes endormis sur le sol. Il est clair que quelque chose ne tourne pas rond ici ! Il vaudrait mieux se serrer les coudes afin que l'on puisse s'en sortir, vous ne croyez pas, madame la premier ministre ?
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Elisabeth S. Boleyn

Elisabeth S. Boleyn
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MessageSujet: Re: Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !    Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !  Icon_minitimeDim 14 Juil - 8:49

Ses ongles tapotant contre le cuir de son sac à main indiquaient qu’elle était impatiente de sortir d’ici. Son sourire radieux et ses hochements de tête intéressés laissaient pourtant penser qu’elle était particulièrement intéressée par cette présentation du magasin. Mais il faudrait être crédule pour croire qu’Elisabeth Boleyn se plaisait à déambuler dans les allées d’un magasin affreusement magique. La ministre se montrait ici par simple calcul politique, dans le but de faire croire qu’elle n’était en rien raciste et qu’elle n’avait rien contre la magie, mais intérieurement elle était répugnée par la simple idée de devoir passer quelques minutes supplémentaires ici. Et quand bien même on trouvait ici bon nombre d’articles destinés à l’usage moldu, il n’empêchait qu’il s’agissait d’un lieu pour ainsi dire paranormal. Après tout il n’y avait rien de plus étrange -ou presque- qu’une devanture de vingt mètre maximum pour un intérieur de plusieurs milliers de mètres carrés.
Encore quelques photos, des poignées de main et un ou deux rires sonores et elle était enfin libre. Fini de faire semblant, on pouvait enfin rentrer à Downing Street afin de travailler sérieusement.
Afin d’éviter la foule, on suggéra à Elisabeth d’emprunter un autre chemin que le rayon vêtements et c’est ainsi qu’elle se retrouva du côté des allées réservées à la musique et à l’art en général. Elle avançait d’un pas rapide, entourée de trois hommes tout de noir vêtus. Trop occupée à pianoter sur son téléphone et à écouter d’une oreille abstraite son assistante qu’elle finit par envoyer valser pour qu’elle aille lui chercher un café, la Boleyn n’entendait même pas la musique qui s’élevait non loin d’elle.  Mais car il aurait été beaucoup trop ennuyeux que les choses soient simples et qu’elle puisse déguerpir tranquillement, ses yeux s’arrêtèrent sur une scène étrange. Cinq personnes. Deux accroupis et conscients. Trois allongés par terre et visiblement les yeux clos. Dans un premier temps elle soupira en songeant au fait qu’elle allait être forcée de passer quelques minutes de plus ici. Puis la londonienne se résolut à aller voir de plus près. Au moins pour ne pas être accusée de non-assistance à personne en danger.

- Que se passe-t-il, demanda-t-elle à l’une des personnes qui entouraient ceux qui paraissaient paisiblement endormis.
- Visiblement ils vont bien, répondit l’un d’eux, qui se releva brusquement en découvrant l’identité de celle qui s’était penché au-dessus de son épaule. Ils sont simplement endormis et il est impossible de les réveiller, madame.
C’était étrange. Très étrange.
- Arrangez-vous pour que personne ne passe par ici.
Les deux hommes acquiescèrent d’un signe de tête et filèrent en vitesse vers l’ascenseur. Un instant plus tard et raisonnait dans le magasin une voix mécanique indiquant que l’étage venait d’être condamné.

Génial. Maintenant elle était coincée dans un grand supermarché magique, à côté de trois personnes inconscientes. Potentiellement devant des victimes d’un empoisonnement, d’un sortilège, d’une bactérie hautement contagieuse ou on ne savait quoi de terriblement dangereuse. Mais il fallait rester calme. Respirer calmement, sourire comme si tout allait bien, surtout ne pas paraître paniquée. Mais c’est exactement ce qu’elle fut lorsqu’elle entendu le bruit sourd d’un garde du corps qui plaquait quelqu’un contre le mur. Se retournant brusquement avec un cri aigu de surprise, ses yeux se posèrent sur un jeune homme qu’elle ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam mais qui était maintenant en mauvaise posture. Il avait cependant l’air plutôt débrouillard et, à en juger par ses plates excuses, peu dangereux. Du moins il n’avait rien du parfait assassin, à moins qu’il ne cherche à assommer quelqu’un à coup de guitare.

- C’est bon, lâchez-le.
L’homme en noir obtempéra immédiatement et eut même la courtoisie de bafouiller une espèce d’excuse vaguement audible.  Celui qui paraissait pour un gringalet à côté de lui ne se formalisa pas de cette empoignade relativement brutale et eut vite fait de pointer du doigt les trois endormis. A présent qu’il les avait lui aussi vu, il allait être difficile de le faire déguerpir d’ici. D’autant qu’il ne semblait pas près de partir car il proposait déjà son aide.

- S’entraider… La dernière syllabe s’éternisa au bout de des lèvres de la britannique et son index vint se poser sur son menton pour lui donner un air dubitatif. Levant les yeux au ciel, elle pesa le pour et le contre afin de juger si l’aide de ce jeune homme était ou non souhaitable. Sans doute. Après tout il semblait ne pas être du genre à se laisser faire –en témoignait la façon dont il s’était débattu quelques secondes auparavant- et il n’y avait rien à perdre à accepter un coup de main.

- Soit. Vous avez raison, conclut-elle finalement après sa minute de réflexion. Elisabeth se tourna alors vers deux des gardes du corps et d’un geste de la main leur fit comprendre qu’ils devaient aller voir dans les alentours afin de s’assurer qu’il n’y avait pas d’autres « victimes ». Par précaution, elle préférait tout de même que l’un des trois reste non loin d’elle.

- Alooors, elle se tourna vers le musicien et d’une mimique étrange elle signifia qu’elle s’attendait à ce qu’il lui donne son nom. Vous êtes au courant de quelque chose ? Vous avez vu quelque chose ? Entendu quelque chose ? Maintenant qu’il était ici, il n’allait pas s’en tirer avant d’avoir répondu à une bonne demi-douzaine de questions peu subtiles.
- De la magie, lança-t-elle pour elle-même avant de se retourner vers son nouvel interlocuteur. Cela ne peut être que l’œuvre de la magie, n’est-ce pas ? Quelle saleté.

Si en temps normal elle se moquait éperdument de l’avis des parfaits inconnus, dès que, comme aujourd’hui, elle sentait que la situation lui échappait, elle paniquait facilement et avait besoin de se sentir entourée. Et écoutée. Quand bien même elle avait tendance à parler seule.
- Etes-vous le coupable, demanda-t-elle alors très sérieusement, regardant John droit dans les yeux afin de déceler la moindre petite lueur de mensonge qui pourrait venir éclairer son regard.
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John W. Rook

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MessageSujet: Re: Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !    Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !  Icon_minitimeMar 16 Juil - 16:22

Pour le moment, les choses semblaient s'être calmées. Malgré le fait d'avoir frapper le garde du corps, la premier ministre ordonna qu'on le relâche, au grand regret de la personne qui le retenait auparavant. En observant la femme rousse de plus près, il se rendit compte à quel point elle méritait sa réputation. Sa voix était ferme, sa posture droite et rigide. Même son regard était dur et marqué par sa détermination. Au moins, ce pays n'irait pas totalement dans le mur... Puis dans cette situation délicate, valait mieux qu'il se fasse des alliés parce que tout était contre lui et surtout, il n'avait aucune raison de se mettre à dos Elisabeth Boleyn.
La proposition du musicien plongea la dame dans une profonde réflexion. De toute façon qu'avait-elle à craindre d'un musicien connu qui avait été maîtrisé facilement par l'un de ses gardes ?
Apparemment, pas grand chose puisqu'elle accepta l'aide de John et qu'elle renvoya deux de ses gorilles inspecter les alentours. Un seul garde resta néanmoins pour la protéger. Elle demeurait quand même prudente ! Mais cela demeurait compréhensible.
Il était un parfait inconnu enfin si on pouvait dire ça... Il était quand même sorti 3 ans avec une princesse et les journaux ne s'étaient pas gênés pour en informer tout le pays. Rook lui donna quand même son nom lorsqu'elle le lui demanda de façon implicite.


John ! John Rook, madame !

Les éternelles questions du parfait petit détective. Alibi ? Témoin ? Indices ? C'était dans son intérêt de coopérer alors autant commencer tout de suite à répondre aux questions...

Je viens tout juste d'arriver sur les lieux, je suis là pour le concert d'inauguration ! J'ai juste profité de mon temps libre pour m'acheter une nouvelle guitare. Sinon, j'en sais pas plus que vous, je pense.

Elisabeth en conclut rapidement que tout ceci était d'ordre magique... Grossière erreur mais bon, on ne peut pas tous être expert en la matière... Si cela avait été d'ordre magique, il aurait soit été victime un sort soit il aurait ingéré une potion. S'ils avaient bu une potion, il y aurait encore les fioles sur les lieux ou le sol serait imbibé par la substance, ce qui n'était pas le cas. S'ils avaient été victime d'un sort, les autres auraient réagi or ils semblaient clairement que les trois victimes avaient été touchés simultanément... Il s'agissait donc d'autre chose et le plus intriguant était la présence de ce micro sans fil qu'il était le seul à avoir remarqué visiblement.
Sans aucune raison, cette femme de pouvoir planta son regard dans le sien et lui demanda s'il était le responsable de ce remue-ménage. Ce regard scrutateur lui donnait l'impression d'être soumis à un détecteur de mensonges.
Cependant, il n'avait rien à se reprocher et sans détourner le regard, il lui répondit d'un ton équivoque.


Je n'y suis pour rien !

Il se rapprocha alors des trois personnages endormis et attrapa le micro qu'il brandit au visage de Elisabeth. Peut-être en saurait-elle plus que lui ? Est-ce que ce micro pouvait être la cause de tout ce ramdam ? A première vue, c'était un micro sans fil tout ce qu'il y a de plus normal.

Que fait ce micro ici ? Pourrait-il avoir un rapport avec ces hommes ?

Il fit alors glisser le micro pour l'examiner sous toutes les coutures mais rien. C'était un micro basique. La seule chose notable était qu'il était allumé... Se pourrait-il que le coupable soit en train de les écouter ? John montra la diode verte à la premier ministre et mit son doigt devant sa bouche pour lui intimer le silence. Il coupa ensuite le micro et le tendit à la moldue.

Tenez, peut-être que vous trouverez quelque chose qui pourrait nous aider.

Madame, on a vu quelque chose ! Impossible de dire ce que c'est mais une chose est sure, c'était pas humain.

Sa voix était paniqué et son souffle court. Ben alors, on a eu une petite frayeur ? C'est plutôt indigne d'un garde du corps ! A moins que ce soit un petit nouveau et qu'il est encore du mal à vivre dans le monde actuel... A moins que ce qu'il ait vu soit vraiment terrifiant... John prit alors les devants, voulant se sortir de cette situation au plus vite !

Par où cette chose est-elle partie ? L'homme lui désigna la partie opposée du magasin. Très bien, venez avec moi et débusquons cette chose !
Madame, il se peut que cette chose en ait après vous. Soyez prudente !


Le musicien demanda aux deux gardes restants de surveiller leur cliente et prit la direction du lieu indiqué par le dernier garde. Allait-elle le suivre pour garder un oeil sur lui ou bien rester sagement à attendre leur retour ? John avait déjà son idée sur la réponse mais ce n'était pas à lui d'imposer les décisions ici !


Dernière édition par John W. Rook le Mer 24 Juil - 17:21, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !    Elisabeth S. Boleyn & John W. Rook • Grande ouverture !  Icon_minitimeMer 24 Juil - 16:31


Maintenant qu'elle connaissait son nom, ce jeune homme lui rappelait assurément quelqu'un. A force de le fixer elle fut prise d'une illumination soudaine. Elisabeth se rappelait. Il était un musicien très certainement extrêmement célèbre puisque son visage lui apparaissait comme familier. Car il fallait être sacrément connu pour qu'une femme qui ne lisait jamais les tabloïds vous reconnaisse. A y réfléchir à deux fois, elle devenait même persuadée qu'il était l'interprète d'une chanson qu'elle avait un jour écouté par hasard et particulièrement apprécié. Mais ce n'était pas le moment de lui demander un autographe. D'autant qu'il avait ou aurait sans doute sa dose aujourd'hui. Du moins s'il pouvait quitter cet étage pour se rendre au concert qu'il était supposé donner.
Puisque le musicien ne se formalisa pas de n'avoir été reconnu de suite, Elisabeth se garda bien de faire une quelconque remarque sur ce point. Tout comme elle fut en manque de mots -ce qui était pour elle très étonnant- lorsque l'artiste lui tendit un micro tout ce qu'il y avait de plus ordinaire, si on ne comptait cependant pas le fait qu'il soit allumé. Babeth attrapa l'objet du bout du doigt et le fixa avec un sourcil haussé, ce qui témoignait de son étonnement.

- Vous vous y connaissez sans doute mieux que moi, mais je ne vois là qu'un micro tout ce qu'il y a de plus normal.
Et bien non. S'il y avait quelqu'un qui pourrait trouver comment les aider avec ceci, ce n'était assurément pas Elisabeth. Elle haussa les épaules et, ne sachant pas quoi en faire, garda le micro à la main. Et pas le temps de se demander à quoi cela pourrait-il bien lui servir car déjà revenaient à la hâte ceux qu'elle avait envoyés en éclaireurs. Leur air essoufflé la fit d'abord soupirer longuement. Après tout n'étaient-ils pas censés être capables de courir un marathon sans avoir besoin de trois jours pour récupérer ? Mais passons.
L'homme semblait paniqué, mais ce n'était pas rapport à la ministre lorsqu'elle apprit la nature supposée de la chose responsable de tout ce remue-ménage. Quelque chose qui n'était pas humain était nécessairement dangereux. Et effrayant. On aurait beau lui dire le contraire, Elisabeth était absolument persuadée que la créature venait du monde magique. Car Pré-au-Lard se situait juste à côté d'une forêt qu'on disait fourmillant de bêtes toutes plus monstrueuses les unes que les autres et dotées d'une aura surnaturelle.
Complètement paralysée par la peur de tomber nez à nez avec le monstre, Elisabeth était pour ainsi dire incapable d'aligner plus de deux pensés sensées. Heureusement, John était en mesure de penser pour deux et suggérait déjà que tous deux se mettent en chasse. Mais c'était sans compter sur le manque cruel de volonté de la femme politique qui n'avait nulle envie d'aller risquer sa vie à courir après quelque chose de potentiellement mortel. Elle hésita d'autant plus lorsque le garde laissa clairement entendre qu'elle était potentiellement la cible de la chose. Paranoïaque comme elle était, Elisabeth était à présent en pleine panique intérieure. Figée telle une statue de glace, elle regarda dans un premier temps le musicien s'éloigner, avant de reprendre ses esprits et de se rendre compte que de toutes les personnes présentes ici, il était sans doute celui avec qui elle serait la plus en sécurité tant il semblait sûr de lui. Elle lui cria donc de l'attendre avant de filer vers lui du haut de ses talons inconfortables et mal taillés pour la course.

- Vous avez une idée de ce qu'on cherche, demanda-t-elle une fois arrivée à sa hauteur, sachant pourtant pertinemment qu'il n'en avait aucune idée ou presque.
Pendant que tous deux avançaient dans les allées désertes du grand magasin, la Boleyn restait sur ses gardes et se figeait au moindre petit bruit, était à la limite du sursaut à chaque fois qu’elle entendait sa propre respiration.

- Attendez. Elle s'arrêta soudain net et posa sa main sur l'épaule de celui qui marchait à ses côtés afin qu'il fasse de même. J'ai entendu quelque chose. Chut.
Comme une institutrice qui réclamait à sa classe le silence, elle porta son index à ses lèvres. Car elle en était persuadée, ce qu’elle venait d’entendre n’était ni le son de ses talons sur le sol, ni le fruit de son imagination.
- Là ! Vous l'avez entendu ?! En même temps qu'elle disait cela elle était venue se cacher instinctivement et maladroitement derrière le jeune homme. Se rendant compte qu'elle devait être particulièrement ridicule à trouver refuge derrière un parfait inconnu, qui n'avait en outre pas une carrure démesurée, elle se redressa, lissa sa robe d'un geste qui se voulait assuré et pris sur elle afin d'afficher de nouveau un demi sourire. Si on était arrivé à cet instant précis, on aurait presque pu penser qu'elle n'était absolument pas inquiétée par la situation.

- Une bonne oreille confirmerait-elle que ça venait des conduits d'aération ?
Espérons que non. Car ni l’escalade ni la spéléo n’avaient jamais été ses points forts.
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